Ouvrir les yeux, c’est entrer dans l’agitation du monde, ses bruits, ses images, ses urgences.
Les fermer, c’est revenir au centre de soi, là où règnent silence et paix.
Entre ces deux gestes se joue l’équilibre : habiter le dehors sans se perdre, habiter le dedans sans fuir.
Entre l’ouverture et la fermeture des yeux, il y a un seuil.
Ni dehors, ni dedans, mais un espace de pure présence.
C’est là que le regard devient conscience,
là que le monde et le soi se rejoignent en silence.
Ni dehors, ni dedans, mais un espace de pure présence.
C’est là que le regard devient conscience,
là que le monde et le soi se rejoignent en silence.
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