En cette fin de soirée, je pense à l’accompagnement communautaire et cette phrase de Maître Eckhart revient : « Je prie Dieu de me libérer de Dieu. »
Pour moi, cela veut dire : accepter de laisser tomber les images ou les idées toutes faites que je me fais des personnes ou des groupes que j’accompagne.
Même avec les meilleures intentions, je peux enfermer l’autre dans ce que je crois être "bon” pour lui.
Mais si je mets ces idées de côté, je peux vraiment rencontrer la personne telle qu’elle est, et non telle que je l’imagine.
Même avec les meilleures intentions, je peux enfermer l’autre dans ce que je crois être "bon” pour lui.
Mais si je mets ces idées de côté, je peux vraiment rencontrer la personne telle qu’elle est, et non telle que je l’imagine.
C’est là que l’accompagnement devient un espace vivant où quelque chose de plus grand peut se passer, dans un échange qui nous transforme tous les deux.
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