J’ai longtemps cru que fonder signifiait partir une fois l’œuvre lancée.
Aujourd’hui, je découvre une autre voie : rester pour transformer.
Rester non pour défendre, mais pour accompagner la mue.
Rester pour que la mémoire et le souffle puissent cohabiter.
Rester, enraciné et vivant, comme un arbre qui refleurit après l’hiver.
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