Il y a, devant nous, des terres sans chemins.
Elles portent les contours flous de ce que nous appelons impossible.
Elles nous effraient parfois… mais elles nous appellent toujours.
Marcher vers elles, c’est accepter d’être transformé.
Ce n’est pas seulement franchir une limite,
c’est apprendre à respirer dans un espace plus vaste que nos certitudes.
Là, l’effort devient offrande.
Là, la résistance devient complice de notre croissance.
Et dans ce dialogue avec l’inaccessible,
nous découvrons la part de nous qui sait déjà comment avancer.

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