Comment peut-on harmoniser la nature et la communauté des peuples avec leurs économies nationales ? Poser la question de cette manière laisse entendre que les deux sont bien distincts. Mais tel n'est pas le cas. L'humanité, l'espèce humaine, existe et c'est la nature qui subvient à ces besoins. Et cela, non pas au figuré, mais au sens littéral.
Nous sommes des animaux d'air profond vivant à l'intérieur d'un système écologique. Bien entendu, pour des raisons d'ordre national ou régional, nous traçons des frontières sur l'écosphère. Mais celle-ci est tout d'une pièce.
Par conséquent, lorsque nous disons de façon optimiste que développement économique et préservation de l'environnement peuvent marcher de pair, il convient immédiatement d'ajouter la réserve suivante : à condition que la première priorité soit attribuée à la préservation de l'écosphère. Le développement économique doit venir en second lieu, en se transformant à des normes écologiques très strictes. Ces principes fondamentaux sont loin d'être universellement reconnus.
Source : Stanley Rowe, audience publique de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement, 1986.
Photo : www.sxc.hu/photo/1130311
À l’Université Saint-Paul à Ottawa et au Centre de Ressources Connexions, j’accompagne les accompagnants et futurs accompagnants avec une approche nommée accompagnement écosystémique intégratif. Inspirée par l’écoute et l’hygiène émotionnelle, elle crée des espaces où chacun se sent soutenu. En renforçant le bien-être collectif par des liens de confiance, cette démarche invite chaque personne à découvrir de nouvelles façons de vivre ensemble, avec harmonie et résilience.
dimanche 11 janvier 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire