" Rompre avec son passé ne signifie pas rompre avec les générations qui nous ont précédées, mais désactiver les rancoeurs.
[…] Il ne s’agit pas de nier la douleur qui nous a été infligée et de pardonner trop vite pour se « débarrasser ». Dans ce processus, toutes les étapes sont à traverser, la colère en passant par la tristesse, le désespoir, la rage, le rejet ; tout le kaléidoscope humain est acceptable, à condition de ne pas perdre de vue que le sens ultime et profond de ce périple c’est de poser un acte de réparation dans un esprit bienveillant pour soi-même. "
Auteure : Sarah Sérievic, Rompre avec nos rôles
À l’Université Saint-Paul à Ottawa et au Centre de Ressources Connexions, j’accompagne les accompagnants et futurs accompagnants avec une approche nommée accompagnement écosystémique intégratif. Inspirée par l’écoute et l’hygiène émotionnelle, elle crée des espaces où chacun se sent soutenu. En renforçant le bien-être collectif par des liens de confiance, cette démarche invite chaque personne à découvrir de nouvelles façons de vivre ensemble, avec harmonie et résilience.
samedi 17 janvier 2009
Un acte de réparation
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