Ce jour-là, dans le récit, on lave les pieds.
Pas la tête. Pas le cœur. Pas l’âme.
Les pieds.
Ce qui a marché. Ce qui a porté. Ce qui a tremblé.
Il y a dans ce geste un enseignement profond sur l’accompagnement :
ne pas chercher à purifier les autres de ce qu’ils sont,
mais honorer humblement là où ils ont marché.
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