Nous vivons une époque où les récits s’effritent, où les institutions vacillent, où la méfiance s’installe comme une seconde peau. Mais ce n’est peut-être pas la fin. Peut-être est-ce le moment de reconsidérer la confiance comme un choix éthique, un geste de résistance douce, un engagement relationnel.
Car sans confiance, tout devient transaction. Et avec elle, la vie redevient rencontre.
J’aimerais croire que nous pouvons faire société autrement. Non pas naïvement, mais lucidement. En misant sur la confiance qui écoute sans vouloir contrôler, qui accueille sans vouloir corriger, qui accompagne sans chercher à posséder. Et si tout commençait vraiment là,,, Dans ce premier élan intérieur qui dit : je te fais assez confiance pour être vrai devant toi.

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire