Ce matin, je me questionne sur la manière dont j’investis mon temps et mon énergie. Trop souvent, je me laisse absorber par des tâches secondaires, des engagements ponctuels ou des distractions qui, bien que parfois agréables, ne contribuent en rien à mon avancement réel. Ai-je vraiment besoin de toutes ces activités, ou est-ce une façon inconsciente d’éviter l’inconfort du progrès ?
Je réalise que chaque choix compte. Chaque moment dispersé éloigne un peu plus mes projets, dilue ma concentration et me retarde sur ce que je veux vraiment accomplir. La peur du changement, le besoin de certitudes ou simplement l’habitude peuvent m’amener à me réfugier dans le superflu, plutôt que de me confronter aux défis qui exigent effort et engagement.
Aujourd’hui, je choisis d’être plus conscient de mes priorités. Je me rappelle que progresser, c’est aussi apprendre à dire non, à alléger ce qui encombre, et à canaliser mon énergie vers ce qui a du sens. Il ne s’agit pas de faire plus, mais de faire mieux, en accord avec ce qui nourrit mon évolution et ma mission.
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