À ce moment, je m’offre un instant de silence pour écouter ce qui, en moi, cherche à émerger. J’entends un appel intérieur, non pas celui du mental pressé de comprendre, mais celui du cœur, qui parle avec douceur, sans bruit, et pourtant éclaire chaque pas. Je ne veux plus me perdre dans les attentes extérieures ni me dissoudre dans l’agitation des urgences. Aujourd’hui, je choisis de demeurer fidèle à ce qui est vrai en moi, même si cela est encore fragile, même si cela vacille. Car c’est dans cette vulnérabilité accueillie que je retrouve le fil de ma justesse.
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