Juste assez pour me sentir accueilli.e, même tremblant.e.
Pas trop, pour ne pas m’engourdir.
Mais assez pour oser m’approcher de mes zones d’ombre sans m’y perdre.
Assez pour rester debout, vulnérable, avec le cœur ouvert.
Parce que c’est dans cet espace fragile, entre sécurité et vertige,
que naît la transformation.
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